Informations sur l’emploi
- Organisation/Entreprise
-
CNRS
- Département
-
Institut Charles Gerhardt Montpellier
- Domaine de recherche
-
Chimie » Chimie physiqueChimie » Chimie computationnelle
- Profil de chercheur
-
Chercheur reconnu (R2)
- Pays
-
France
- Date limite d’inscription
- Type de contrat
-
Temporaire
- Statut du travail
-
À temps plein
- Heures par semaine
-
35
- Date de début de l’offre
- Le poste est-il financé par le programme-cadre de recherche de l’UE ?
-
Non financé par un programme de l’UE
- L’emploi est-il lié au poste du personnel au sein d’une infrastructure de recherche ?
-
Non
Description de l’offre
Contexte : La résolution du problème de la structure électronique en chimie quantique a été identifiée comme « l’application phare » car elle repose sur la résolution de l’équation de Schrödinger, dont la solution exacte à l’échelle informatique classique est exponentielle avec la taille du système, de la même manière que l’espace couvert par le qubits de l’ordinateur quantique. Néanmoins, les promesses attendues des applications de l’informatique quantique à la chimie quantique pourraient être fortement réduites pour certaines générations technologiques en raison de la profondeur des circuits et du bruit quantique. Comme alternative, la résolution des équations de Kohn-Sham sur des ordinateurs quantiques au lieu de l’équation de Schrödinger est proposée ici pour contourner les limitations susmentionnées. En mappant le système sans interaction KS sur un système en interaction exponentiellement plus petit, seuls les qubits log(N) sont nécessaires pour décrire un système avec N orbitales au niveau d’approximation DFT, ouvrant ainsi le traitement de systèmes plus grands [1]. Dans ce projet, nous visons à obtenir un avantage quantique pour le DFT dans la pratique plutôt que sur le plan conceptuel.
[1] B. Senjean et al., Vers une théorie fonctionnelle de la densité sur les ordinateurs quantiques ?, SciPost Phys. 14 055 (2023)
Il s’agit d’un poste postdoctoral de deux ans, financé par l’agence nationale de recherche (ANR) et encadré par Bruno Senjean (CNRS, Université de Montpellier) en collaboration avec Thierry Deutsch (CEA, Grenoble) et Luigi Genovese (CEA, Grenoble) , développeurs du code BigDFT.
– Concevoir une implémentation optimale de la DFT quantique sur des appareils quantiques (concernant l’encodage, la profondeur du circuit et le nombre de mesures).
– Implémentation de Q-DFT sur un code DFT bien établi et open source : le code BigDFT massivement parallèle et convivial pour python
Le candidat travaillera au département 5 de l’ICGM (« Chimie Physique Théorique et Modélisation ») : https://www.icgm.fr/linstitut/les-departements/d5/
Exigences
- Domaine de recherche
- Chimie
- niveau d’éducation
- Doctorat ou équivalent
- Domaine de recherche
- Chimie
- niveau d’éducation
- Doctorat ou équivalent
- Langues
- FRANÇAIS
- Niveau
- Basique
- Domaine de recherche
- Chimie » Chimie physique
- Années d’expérience en recherche
- 1 – 4
- Domaine de recherche
- Chimie » Chimie computationnelle
- Années d’expérience en recherche
- 1 – 4
Informations Complémentaires
Programmation Python, Information quantique et développement méthodologique en chimie quantique
- Site Web pour plus de détails sur le travail
Caractéristiques de l'emploi
Catégorie emploi | Postdoctoral |