L’inactivité physique et le comportement sédentaire sont des facteurs de risque connus pour les maladies non transmissibles, les femmes étant plus inactives et sédentaires que les hommes (OMS, 2018 ; 2020 ; Heesch & Sahlqvist, 2012). Malgré cela, seul un tiers de la population européenne respecte les niveaux d’activité physique minimum recommandés (Hallal et al., 2012). L’environnement bâti a un impact significatif sur le comportement en matière d’activité physique et les environnements de vie active sont considérés comme une « condition préalable » pour de meilleurs résultats en matière de santé (GilesCorti et Donovan, 2002, Sallis et al, 2012). Les femmes sont plus inactives que les hommes dans la plupart des pays (Guthold et al., 2018), avec des contraintes environnementales citées plus souvent que les hommes et une probabilité réduite de participation active aux déplacements (Heesch & Salqvist, 2012). Le transport durable est reconnu comme un élément clé du développement durable, contribuer à la bonne santé et au bien-être et réduire les émissions (ONU, 2015). Cependant, à l’heure actuelle, il y a un manque de neutralité de genre dans les transports et la conception des infrastructures d’activité physique, ce qui affecte le choix modal (TUMI, 2018). Cette étude vise à explorer la relation entre l’environnement bâti, l’activité physique des femmes et le comportement de déplacement actif et les résultats de santé ultérieurs. L’étude :
● Passer en revue la littérature sur le genre, l’activité physique, les déplacements actifs et la santé
● Utiliser une approche à méthodes mixtes pour comprendre les perceptions actuelles de l’activité physique, des déplacements actifs et de la santé et leur relation avec l’environnement bâti
● Explorer les approches les plus efficaces pour augmenter les niveaux d’activité physique et la participation active aux déplacements chez les femmes
● Établir les avantages pour la santé et l’économie de l’augmentation de l’activité physique et des déplacements actifs des femmes
Ce qui est financé
Allocation étudiante 18 500 € par an
Matériel/ Déplacement etc. 2 600 € pa
Frais couverts par TU Dublin
Durée
4 années
Admissibilité
Exigences des étudiants pour ce projet
Essentiel :
- Un diplôme de niveau 8 au minimum 2.1 en gestion du sport, en sciences du sport, en éducation physique, en psychologie, en santé publique ou dans une discipline connexe
- Familiarité avec l’utilisation de logiciels d’analyse statistique (SPSS, R, etc.) et/ou de logiciels d’analyse qualitative (NVivo)
- Excellentes compétences en communication, en particulier, compétences en rédaction de rapports et en présentation, compétences interpersonnelles et intrapersonnelles
- Solides compétences en gestion du temps et en organisation, souci du détail
- Les candidats dont la langue maternelle n’est pas l’anglais doivent présenter une preuve de compétence en anglais;
Souhaitable :
- Une qualification de niveau 9 dans un domaine apparenté.
- Expérience (universitaire ou professionnelle) dans le domaine de l’activité physique, du sport ou de la promotion de la santé
Chronologie :
Date limite de candidature : 31 janvier 2022 à 17h
Entrevues : mi-février 2022
Début du projet : 1er mars 2022
Processus de demande
Veuillez envoyer ce qui suit à phd@tudublin.ie
Formulaire de déclaration d’intérêt ( ici )
CV complet
1 page (police de taille 10, espacement de 1,5) Aperçu de l’activité physique chez les femmes
Noms et coordonnées e-mail de deux arbitres (minimum)
Date limite de candidature 31 janvier 2022 à 17h